3 septembre 2024

ANNONCE : LA DFA à intégré l'Alliance of Digital Finance and Fintech Association & Africa Fintech Network

Après de nombreuses discussions au cours des deux derniers mois, nous sommes très heureux de vous informer que nous avons rejoint deux réseaux Fintechs engagés à transformer le paysage financier Africain et Mondial à travers la technologie financière, dans l’intérêt de l’industrie congolaise

Notre intention est de mettre en œuvre ce qui est bénéfique pour le marché local en ce qui concerne les bonnes pratiques, l'innovation, la gouvernance et l'investissement, en mettant l'accent sur l'inclusion financière.

Il s’agit de l’Alliance of Digital Finance and Fintech Association & Africa Fintech Network

L’Alliance of Digital of finance and Fintech Association est un hub mondial réunissant les associations Fintech afin d’œuvrer pour la synergie et la création des opportunités tout en amplifiant la portée et l’impact des Fintechs.

Et l’Africa Fintech Network est une plateforme créer pour favoriser la collaboration au sein de l'écosystème Fintech en Afrique, dans le but de promouvoir l'inclusion financière sur tout le continent.

En rejoignant ces deux réseaux, nous renouvelons notre volonté à permettre à nos fintechs de participer et collaborer avec d’autre leaders des pays d’Afrique. Car ces choix réservent bien à notre marché domestique, l’exposition nécessaire pour mieux créer des opportunités d’expansion ainsi établir des partenariats stratégiques pour le développement de l’industrie à travers l’Afrique. Également à participer aux progrès des technologies financières.

Nous comptons bien explorer des nouvelles pistes pour stimuler l'inclusion financière, accélérer la digitalisation et développer des solutions qui auront un impact réel et durable.

Ainsi façonner l'avenir des services financiers à travers le monde, Ensemble.



EAST AFRICA INVESTMENT FORUM 2024

La DRC FINTECH ASSOCIATION est heureuse d'annoncer son rôle actif dans le prochain Forum d'Investissement en Afrique de l'Est (EAIF) 2024.

Cet événement historique, prévu pour le 12 et 13 septembre 2024 à l'Hôtel Serena à Dar es Salaam, Tanzanie, réunira des leaders de la Fintech, des représentants politiques et gouvernemental, des scientifiques, des investisseurs et des entrepreneurs.
L’objectif de ce forum est bien de stimuler l'innovation, d'encourager l'investissement et de construire un écosystème collaboratif au sein du secteur dynamique de la fintech en Afrique de L’Est.

Un protocole d'accord fut signé le 29 juillet 2024 entre les Associations Fintech de Tanzanie (TAFINA), Kenya (AFIK &FINTAK), Ouganda (FITSPA) et la RDC(DFA), soulignant de ce fait, la volonté commune d'accélérer la croissance des Fintechs, de faciliter la coopération régionale et de favoriser le développement durable dans le secteur des technologies financières.

L'EAIF servira de catalyseur pour un dialogue transformateur, des partenariats stratégiques et des opportunités révolutionnaires. Alors, en unissant nos forces de manière collaborative, nous nous engageons à créer un paysage financier dynamique et inclusif qui profite à tous les habitants de l'Afrique de l'Est.

Ensemble, nous ouvrons la voie à un avenir plus lumineux et plus connecté en Afrique de l'Est.

Réserver vos billets en cliquant sur le suivant :

Réservation Billet

See more
28 août 2024

FINTECHS : Acteurs de la révolution financière

 

Au travers des fintechs, le monde a connu une révolution dans les services de paiement, l’épargne, l’assurance et le crédit, ce qui occasionna une augmentation d’investissement dans ce secteur.
Son potentiel ou atouts, a permis de jouir d’une croissance externalisée lui donnant une place intégrante dans l’écosystème financier.


Les fintechs ? Qui sont-ils ?


Exploitant le potentiel des innovations technologiques, les entreprises dit Fintechs (Finances and Technologie) ont proposé des produits optimisant les services financiers de tout bord.   

L’expérience client n’est plus vécu de manière contemporaines ou traditionnels en raison des solutions digitales efficace que les institutions (Banques, Mobile Money, Microfinance, etc…) ont mis en place grâce aux technologies financières. Ces derniers ont permis des réductions des coûts mais aussi ont admis l’amélioration de la personnalisation des services.
Son spectre d’action étant plus large, donna naissance à différents produits financiers adaptés, permettant une meilleure accessibilité des finances au sein des populations. Il est question dans cet ensemble de domaines : d’accéder en ligne à son patrimoine en banques, de détenir un portefeuille d’argent électronique, de manipuler un patrimoine dans les marchés boursiers ou d’assurance, etc.


Leurs contributions sont majeures dans les prérogatives de savoir comment gérer les finances, tant pour les individus ou entreprises ainsi que dans les innovations qu’elle stimule le jours le jours.  

A ce jour, il est bien le moteur du développement de l'Afrique...

  

L’image des Fintechs en Afrique 

Les Fintechs en Afrique sont perçues de manière favorable car elles introduisent des solutions financières innovantes qui répondent aux besoins entraver des populations et comblent les lacunes laissées par les services bancaires traditionnels. Leur utilisation de la technologie permet de rendre les services financiers plus accessibles et adaptés aux besoins spécifiques des populations africaines, contribuant ainsi à favoriser l'inclusion financière et le développement économique.

Les deux raisons suivantes non exhaustive peuvent justifier leur croissance rapide dans la région :

- Les faibles taux de bancarisation ;

Car une bonne partie des populations Africaines échappes aux champs d’action des banques en raison des faibles représentations des agents bancaires de proximités mais aussi en raison d’une faible éducation sur les finances (la notion de l’épargne). Toute fois ces populations détiennent des moyens de communication tel que les téléphones portables.

- Une intégration du mobile et de l’internet

L’utilisation des moyens de communication ainsi que l’interconnections ont permis le développement de certains services financiers car par les fintechs il est possible de détenir un portefeuille électronique et de gérer son patrimoine.  

Face à ces cas particuliers, l’Afrique a su exposer sa capacité et son dynamisme à développer des solutions innocentes adaptés.

En Afrique il y’a quatre nation dénommé les “Big Four” qui ont su se faire démarqués par leur niveau de réussite lié à l’intégration de ceux qui ont échappé à l’étendue des champs d’application des banques, nous pouvons cités le Kenya, Nigéria, l’Egypte et l’Afrique du Sud.

A eux seules, ils représentent 90,4 % des fonds levées dans toutes l'Afrique à hauteur de 2 176 274 000 USD en 2023. Encore ils ont enregistré 292 Startup à la liste des startups fondés en 2023, soit 71,9% du marchés total.

Aux vues des chiffres et capacités constatés, sans doute, les fintechs taille bien le future des banques.


Qu’en est-il de la RDC ?

Vivant actuellement une ère de transformation numérique dans les services des paiements, où les fintechs gagnent de plus en plus du terrain dans la vie au quotidien des populations.
 

La période clé de cette expansion est intervenue lors de la crise sanitaire qu’a connu le monde, où il n’était plus possible d’effectuer aisément des déplacements, les peuples ont compris la nécessité de détenir les facilités des paiements que les fintechs donnent a savoir le transfert d’argent issue de la monnaie électronique ou encore des solutions digitales qu’a rendus les banques.

Après cette crise, l’intérêt ou encore les investissements dans l’industrie n’ont fait que croite car le potentiel en général des populations africaines face à la capacité des échanges de monnaie électronique est devenu palpable pour la RDC.

D’après le rapport de Discrupt Africa, en 2023, les fintechs ont attiré un énorme financement à hauteur de 60 578 000 USD, soit une augmentation de 686,7 % par rapport aux 7 700 000 dollars en 2022. Ce total a été alimenté par le secteur de l'énergie, avec Nuru qui a attiré 41,5 millions de dollars en financement de pré-série B au cours de l'année ; et Altech, qui a reçu 18 millions de dollars.

De nos jours, différentes compagnes exécutés par les fintechs afin de promouvoir le Cashless c’est-à-dire la faible utilisation des monnaies fiduciaires (Billet de banques, etc..) et de privilégier les solutions financières digitales, sont devenue plus visibles.

La capacité avérée de la République Démocratique du Congo à développer le secteur de la fintech dépend de plusieurs facteurs, tels que : La réglementation, la culture ou habitude des utilisateurs ainsi que l’éducation financière.

Le futur de la fintech en RDC semble prometteur, avec des opportunités d'innovation, de croissance et d'impact positif sur l'économie et la société. Cependant, pour réaliser pleinement ce potentiel, il sera important de relever les défis liés à l'infrastructure d’identification, aux textes règlementaires et à l’inclusion financière, tout en favorisant la collaboration entre les différents acteurs du secteur.


 

 

See more
16 mai 2024